Eric Le Brun
Si son ours en peluche s'était appelé Bolino, Le Brun aurait peut-être
fini vendeur de pâtes. Le sien s'appelait Tintin. Ca crée une vocation ! L'année 1975 va bouleverser la vie de ce nantais de 4 ans : il abandonne son nounours pour un crayon qu'il ne lachera plus. Sur le conseil avisé de ses parents, il arrête les fresques murales dès 1976 pour leur préférer le support papier avec des cases dedans : "C'est plus rigolo pour raconter des histoires !". Au réveillon 2000, à quelques années de la crise de la trentaine, il sourit : "Le nouveau millénaire s'annonce bien !". |
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